La bécasse

La bécasse

jeudi 10 février 2011

Pour le bon maintien de ce site j'invite les prochains visiteurs à me laisser des commentaires.

Merci par avance.

dimanche 30 janvier 2011

À Saint-Féliu-d'Avall dans les Pyrénées-Orientales, un village de 2.800 habitants, Roger Marty et son épouse Rosemary, un couple de retraités, sont les heureux propriétaires d'un sanglier mâle de 110 kg. Roger, 76 ans, s'est retrouvé le 4 janvier devant le tribunal correctionnel de Perpignan à la suite d'une visite des gardes l'ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage). Le retraité est accusé d'avoir "ouvert et exploité sans autorisation, ni certificat de capacité, un établissement d'élevage, vente, location et transit d'animal domestique". Une pétition a été lancée par les habitants du village et des alentours et a déjà recueilli près de 200 signatures. Le procureur de la République décide de laisser Gaston en vie, mai condamne les Marty à 6000 euros d'amende. Finalement, le Mardi 11 Janvier, le Procureur de la République décide de laisser vivre Gaston en paix chez les Marty.

Information tirée de RTL.fr et retouchée par moi-même.
Je  remercie toutes les personnes qui sont venues visitées mon blog étant donné qu'il vient tout juste de dépasser les 100 visiteurs. J'espère qu'il vous aura plus et que vous viendrez le voir souvent. Merci à bientôt.

vendredi 28 janvier 2011

jeudi 27 janvier 2011

Je vous informe que des informations graves sur la baisse des chasseurs à l'échelle national sont disponible sur la Fédération Départemental des Chasseurs du Tarn et Garonne. Un lien sera disponible en bas à droite de ce site pour accéder à la Fédération Départemental des Chasseurs du Tarn et Garonne ou  en bas de ce message.                                    


                                                           http://www.frc-midipyrenees.fr/-Federation-Tarn-et-Garonne-82-

samedi 15 janvier 2011

Permis de chasse

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Chasse accompagnée

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Piégeage de pie

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Vidéo chasse

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Vidéo chasse

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Vidéo chasse


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Vidéo chasse

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Vidéo chasse



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vendredi 14 janvier 2011

Le chevreuil :

Fiche :

Poids : De 20 à 30 kg
Taille : 75 cm au garrot
Rut : Fin juillet- début août
Gestation : 9 mois
Mise à bas : 1 ou 2 faons
Longévité : Environ 12 ans

Description :

Le chevreuil pèse de 15 à 25 kg ; il mesure environ 75 cm au garrot. Il à le pelage roux vif en été, devient gris-marron en hiver. En toute saison, le chevreuil porte une tache plus claire, presque blanche à sa partie postérieure, qu’on nomme miroir. Le chevreuil à l’ouïe et l’odorat très fins. Léger et gracieux, le chevreuil vit en petits groupes familiaux. Il marque son territoire en se frottant aux branches et aux troncs d’arbres. Le chevreuil sort au gagnage le soir, peu avant la tombée de la nuit. Il se nourrit de feuilles et de bourgeons dans les taillis de fruits sauvages, de feuilles de ronces et de mûriers.
La reproduction :

Le rut a lieu de la fin juillet jusqu'à début août. En mai, la chevrette après une gestation de 9 mois, met bas de 1 à 2 faons rayés de blanc.

Fricassée de bécasses

Pour quatre personnes, prenez : 700g de vin de Bourgogne rouge ou blanc, 200g de lard salé, non fumé, 100g de beurre, 50g d’oignons, 30g d’échalotes, 30g de farine, 20g d’ail, 2 bécasses, 8 grain de genièvre, 2 clous de girofle, huile d’olive, sel et poivre.

Plumez, flambez, videz les bécasses ; découpez-les ; réservez les intérieurs moins les gésiers.
Faite revenir dans un peu de beurre le lard coupé en morceaux, les échalotes et les oignons ciselés.
Faite un roux avec le reste du beurre et la farine ; mouillez avec le vin ; ajoutez la substance revenue, les bécasses, l’ail, l’huile d’olive, le sel et le poivre, les clous de girofle et le genièvre écrasés, laissez cuire pendant une demi-heure.
Retirez les bécasses, tenez-les au chaud, passez la cuisson.
Pilez les intérieurs avec un peu d’huile d’olive, ajoutez-les à la cuisson passée, mélangez bien ; chauffez jusqu’à ce que la sauce est une consistance convenable pour masquer une cuiller.
Dressez les morceaux de bécasses sur un plat, versez dessus la sauce et servez.


Recette tirée de "l'Anthologie de la bécasse" de Jean-Jacques Brochier
Croustade de purée de bécasses

Pour douze personnes, prenez : 750g de vin de Champagne demi-sec, 500g de truffes, 50g de fines champagne, 12 tranches de mie de pain rassis de 10 cm de côté et de 5 cm d’épaisseur, 5 bécasses, 5 bardes de lard, 1 foie gras de canard, beurre, girofle, sel et poivre, persil, laurier ; thym.

Plumez, flambez les bécasses.
Brossez, lavez 400 grammes de truffes, essuyez-les puis hachez-les avec le foie gras de canard. Farcissez les bécasses avec ce mélange ; laissez en contact pendant trois jours.
Le moment venu, bardez les bécasses, faite-les revenir dans du beurre pendant un quart d’heure, assaisonnez-les avec sel, poivre et girofle puis flambez-les avec la fine champagne. Mouillez ensuite avec le vin de champagne, ajoutez persil, thym et le laurier. Laissez cuire pendant trois quarts d’heure à petit feu en arrosant de temps en temps. Nettoyez le reste des truffes, faites-les cuire dans du madère ; coupez-les en rondelles.
Préparez la purée : prenez la chair et l’intérieur des bécasses, pilez-les avec ce qui restes des bardes, passez le tout au tamis ; réservez.
Ecrasez à la presse tous les débris des bécasses, recueillez le jus, ajoutez-le à la purée réservée, mouillez avec la cuisson dégraissée et passée, tenez au chaud au bain-marie.
Préparez les croustades : creusez les tranches de mie de pain de deux centimètres de profondeur, en réservant un bord d’1 cm sur le pourtour ; faites-les dorer de tous côtés dans du beurre, de façon à leur donner une bonne consistance ; emplissez les creux avec la purée bien chaude et décorez le dessus avec les rondelles de truffes.
Décorez les croustades sur un plat garni d’une serviette et servez.

Recette tirée de "l'Anthologie de la bécasse" de Jean-Jacques Brochier

Bécasse farcie de foie gras truffé, en cocotte

Pour dix personnes, prenez : 150g de légumes de pot-au-feu, 100g de porto blanc, 100g de chablis, 50g de vieille fine champagne, 50g de beurre, 30g de cognac, 30g de glace de viande fine, 1 litre  de fond de veau, 2 abattis de poulets, 1 bécasse, 1 foie gras d’oie, 1 barde de lard, madère, truffes, sel, poivre, quatre épices, cayenne.
Faites revenir dans le beurre les légumes et les abattis : laissez pincer un peu de légumes. Mouillez avec le fond de veau, le porto, le chablis, le cognac ; ajoutez la glace de viande, un peu de quatre épices et laissez mijoter doucement en dépouillant fréquemment  pendant la cuisson. Réduisez au volume d’un litre environ ; passez ce fond.
Pendant ce temps, désossez la bécasse, hachez fin l’intérieur moins le gésier, passez les déchets à la presse, recueillez le jus et amalgamez-le avec le hachis de façon à faire une petite farce fine ; assaisonnez-la avec sel, poivre et cayenne, mouillez avec 20g de fines champagne.
Assaisonnez la bécasse avec sel, poivre et quatre épices, puis du cayenne ; mettez- le à mariner pendant douze heures dans du madère.
Ouvrez le foie gras, enlevez-en les parties nerveuses, assaisonnez-le légèrement avec le sel, poivre et les quatre épices, truffez-le et mettez-le à mariner pendant douze heures dans du madère.
Sortez les éléments de leurs marinades.
Etalez la bécasse ouverte sur la barde. Garnissez-en l’intérieur avec la farce préparée et le foie gras, roulez et ficelez.
Mettez la bécasse ainsi apprêtée dans une cocotte en porcelaine, arrosez-la avec le reste de la fine champagne et le madère des marinades, ajoutez le fond réduit. Placez la cocotte dans un grand bain-marie froid, poussez au four doux, amenez lentement à ébullition, puis, à feu plus vif, continuez la cuisson, qui doit durer une demi-heure à trois quarts d’heure.
Enlevez la ficelle, laissez bien refroidir.
Servez dans la cocotte.


Recette tirée de "l'Anthologie de la bécasse" de Jean-Jacques Brochier
  

jeudi 13 janvier 2011

La caille :

Fiche :

Taille : Environ 18 cm

Description :

La caille est peu sociable ; les mâles sont polygames et abandonnent les femelles au moment de la ponte. Chaque année en Avril et Mai, les cailles arrivent d’Afrique où elles ont passées l’hiver. A leurs arrivées, elles se posent dans toutes les cultures, les céréales et les fourrages. Leur nourriture est constituée pour l’essentiel par les semences de céréales. Dès le mois de Juin, la caille établit son nid à terre. Dès que les petits n’ont plus besoins des soins maternels, toute la famille se disperse. Et c’est au début de l’automne qu’elles se regroupent pour prendre un nouvel envol vers l’Afrique.  
Habitudes :

Le lièvre ne construit pas de terrier, comme le lapin mais creuse un gîte. Il le creuse la nuit, suivant le temps et la saison, cela peut être dans les buissons et les haies, soit dans les hautes herbes où aussi dans les vignes. Seul le dos de l’animal émerge du gîte. Par temps sec le lièvre, recherche l’ombre et la fraîcheur ; son gîte est alors creusé dans le maïs ou encore les vignes ; dans ce cas là, le gîte est toujours construits à la bordure pour qu’il puisse s’enfuir rapidement en cas de danger. Si le temps est très sec, son gîte sera à proximité d’une rivière d’un ruisseau, où encore d’un lac. Par temps humide, il gagne alors les labours, les friches et les chaumes ; cependant les gros ronciers sont aussi des lieux recherchés. Il établit alors son gîte en essayant de  se protéger du vent.

La reproduction :

La saison des amours commence, dès la fin Décembre. La hase met bas jusqu’à l’automne, De 2 à 4 portées de 2 à 4 petits. En mettant bas, la hase dispose ses petits à des endroits précis, la nuit tombée, elle vient les allaités, mais pourtant la première semaine, elle vient aussi leur donner la tétée  le midi. 
Le lièvre :

Fiche :

Poids : De 4 à 6 kg
Taille : De 50 à 60 cm
Vitesse : 70 km/h
Mise à bas : Fin Décembre- Mi Septembre
 De 2 à 4 portées, de 2 à 4 levreaux.

Description :

On trouve le lièvre partout, plaines, champs et collines. Il se distinguent nettement du lapin : son pelage est certes semblable est plus roux ; ses oreilles sont bien plus longues que celle du lapin. Ses pattes arrière sont aussi plus longues que ce dernier. Sa queue  est noire au dessus, et blanche en dessous.  Le lièvre n’est pas un animal craintif, certaines fois, on peut l’approcher de prés quand il est au gîte. Le lièvre à quatre moyens de défense : tout d’abord sa ruse, puis sa vitesse, son camouflage et enfin son agilité. Quand un lièvre est dérangé dans une plaine, il file droit pour aller se réfugier dans un abri : maïs, vignes, haies… Une fois à cet endroit il fait demi tour est revient au même endroit. C’est un animal nocturne, il se nourrit comme le lapin, la nuit. Sa nourriture est composée de touts les semences des champs, des vignes, des haies et il mange aussi des plantes.  
Les canetons :

L’accouplement à lieu très tôt, en Février. Dès Mars, la cane pond  de 10 à 15 œufs, qui auront éclos 28 jours après la couvaison. Les canetons, très vifs, se hâtent derrière leur mère, se nourrissant de petits insectes et plus tard, de plantes et d’animaux aquatiques.
Le canard :

Fiche :

Poids : De 900 à 1400g
Accouplement : Février
Pondaison : Mars. De 10 à 15 œufs.
Couvaison : 28 jours

Description :

Le canard fréquente les marais, étangs, rivières, fleuves et baies. C’est un oiseau migrateur, il est commun partout et hiverne régulièrement dans nos contrées, où  il niche dans les étangs  ou dans les marais à végétation abondante. Se nourrissant en  eau peu profonde, il plonge rarement. Généralement, les pattes du canard sont assez éloignées l’une de l’autre et dirigées vers l’arrière, ce qui rend leur marche très maladroite mais en fait d’excellents nageurs. Leur duvet reste imperméable grâce à de fréquents lissages avec l’huile produite par la glande uropygiale, située à la base des plumes de la queue. Les canards, ont un bec spatulé muni de lamelles latérales, qui leur permet de filtrer la vase dont ils retiennent les éléments nutritifs. Le mâle a un plumage plus éclatant que la femelle, avec des dessins plus marqués.


La reproduction :

Le lapin est prolifique, il a de 4 à 6 portées par an, contenant chacune de 6 à 8 petits. Elle creuse une galerie en pente, d’à peu près 80 cm de longueur, au fond de cette rabouillère, elle confectionne une litière composée d’herbes et de poils arrachés de son ventre pour y déposer ses petits. Elle débouche l’entrée de la rabouillère chaque fois qu’elle vient allaiter ses petits, et la rebouche en s’en allant.

Habitudes :

Le lapin creuse un terrier, qui se compose de galeries étroites, s’enfonçant à plusieurs mètres chacune. La plupart du temps le terrier initial est agrandi par le creusements d’étages superposés, communiquant entre eux et avec la surface du sol par des conduits verticaux. Lorsque le temps est beau, le lapin passe sa journée dans un terrier à deux entrées, abrité du vent et exposé au soleil, qu’il à établi dans des ronciers, des haies… Il le fréquente tant qu’il n’y à pas été dérangé. Le lapin va au gagnage dès que le soleil est couché. Il circule toute la nuit et rentre dans son terrier à l’aube. Toutefois, il ne s’en éloigne jamais beaucoup. Son parcours est facilement reconnaissable car la où il passe, il coupe les brins d’herbes à ras de terre.

Le lapin

Le lapin :

Fiche :

Poids : 1,200 kg
Taille : Environ 45 cm.
Vitesse : 40 km/h
Mise à bas : De Février à Octobre.
De 4 à 6 portées d’environ 6 petits chacune.

Description :

Lapin, petit mammifère à fourrure, à queue courte et à longues oreilles. Le lapin a le corps trapu et râblé, et d’environ  1,200 kg. Sa taille, son pelage et sa chair varient suivant sa nourriture et son habitat. La couleur de son pelage est un mélange de gris foncé et de roussâtre. Les oreilles, de la longueur de la tête, sont grises avec des pointes blanchâtres. La queue est gris-brun, foncé au dessus, blanchâtre en dessous, noir à l’extrémité.  Les pattes arrière sont plus longues, que les pattes avant, ce qui lui permet de se déplacer en effectuant de grands bonds. Le lapin est un animal craintif, toujours aux aguets ; au moindre bruit qui ne lui est pas familier, il s’assied sur ses  pattes arrière, corps dressé, pattes avant pendantes, et il écoute ;  si le bruit lui paraît suspect, il se remet sur ses 4 pattes et frappe le sol violemment avec ses pattes arrière, pour avertir ses congénères ; qui se cachent aussitôt dans leurs abris. . Les lapins, qui sont de mœurs plutôt nocturnes, sont herbivores. Il se nourrit de toutes les plantes et graines agricoles.



Habitudes :

En  hiver, la recherche de la nourriture quotidienne est leur préoccupation essentielle. Dès le début de l’année les compagnies se disloquent, elles sont alors formées du couple et des jeunes de l’année. Les coqs se battent ente eux pour la conquête des poules. Le couple, une fois formé adopte un mode de vie nécessaire où il trouvera réunies les conditions majeures à sa nourriture et à sa sécurité. En général se sont des terres cultivées, des prairies, naturelles ou artificielles. Un mois, après la pariade, la poule établit son nid avec de la paille, de l’herbe et de ses plumes.   Pendant ce temps, le coq  se borne à monter la garde en attendant l’éclosion des œufs, 24 jours après la ponte. Dès leurs naissances, les poussins s’en vont  sous la conduite du coq et de la poule. La famille ainsi constituée reste groupée jusqu'à la fin de l’année.

Le perdreau

La perdrix

Fiche :

Taille : Environ 35  cm
Ponte : Fin Mars/ Mi-Avril
                 De 10 à 20 œufs


Description :

La perdrix est sociable et vit en famille près du lieu où elle est née. Elle va au gagnage dès l’aube et vers le soir, elle se repose pendant la journée. Tous les individus d’une même famille  se rassemblent le soir à l’appel des perdrix âgées. La perdrix se nourrit de semences, de graines, d’herbes, elle aime également  les larves d’insectes, en particulier les larves de fourmis. Par temps sec et lorsque  les soleil est à son zénith, les perdrix se réunissent dans les cultures vertes et dans les haies. Les bosquets et les bordures  sont également des remises recherchées. Lorsqu’elles sont pourchassées, elles peuvent très bien de regagner les labours, où elles se tapissent entre les mottes. Par temps humide, les perdrix se tiennent dans les chaumes, en terrain découvert ; par pluie forte, dans les haies. En hiver, elles se mettent à l’abri du froid dans les sillons, les fossés secs, les dépressions du sol. Plus il fait froid, plus elles se blottissent les unes contre les autres.

Habitudes :

A l’aube, il sort des bois pour aller au gagnage dans les chaumes et les terres, jusqu’au environ de neuf heures. Il lui arrive de s’écarter assez loin de son abri. Après avoir satisfait sa faim, le faisan se rapproche du bois. Dans le cours de la journée, par beau temps, il se tient à terre dans les endroits fourrés, tâche de se mettre à l’abri du soleil et recherche la fraîcheur. Par temps humide et froid, il pénètre plus en avant dans les bois et se cantonne  dans des couverts le mettant bien à l’abri, tel que fougère et bruyères. Par temps de pluie, il se réfugie  dans les taillis âgés et les futaies. Vers 16 heures il retourne au gagnage jusqu’au coucher du soleil. Il réintègre alors les bois et se perche sur les arbres élevés pour y passer la nuit. Ce brancher, toujours bruyant, est une indication précieuse pour les chasseurs.

Le faisan

Le faisan

Fiche :

Taille :  90 cm(mâle)/65 cm(femelle)
Nidification : Avril-Mai
Ponte : De 12 à18  œufs


Description :


Faisan, oiseau de la famille des paons, des coqs et des perdrix. A leurs naissances les faisandeaux craignent l’humidité, cependant en grandissant, ils chercheront alors les terrains humides près des mares où dans les bas lieux. Le faisan à pour nourriture végétale les plantes, et les graines mais aussi de petites baies. Celui-ci raffole de raisin. Sa nourriture animale se compose essentiellement d’insectes et de vers. Les biotopes du faisan sont assez  diversifiés ; cependant il se plaît particulièrement dans les forêts de grands arbres aux troncs dégagés, qui lui servent parfois d’abris. Il aime aussi les ronciers, les hautes herbes, les arbrisseaux épineux, les bruyères et les genêts, surtout en lisière de forêt. Le faisan est un animal solitaire  que l’on retrouve à plusieurs seulement en période de reproduction.



La reproduction :

Le rut à généralement lieu en Décembre. Les vieux mâles recherchent alors les compagnies et se livrent à des violents combats pour avoir les femelles. Après un peu plus de 4 mois de gestation, les laies mettent alors bas de 4 à 10 petits marcassins. Ils naissent dans un nid de branches, d’herbes et de fougères très bien préparé. Ils naissent très clair, rayés de roux. Dès  qu’ils sont assez fort, leur mère les conduits au gagnage dans les champs de céréales.

Le sanglier

Le sanglier :

Fiche :

Poids : 150 maximum
Taille : 90 cm environ
Longueur : 1,2 m
Rut : Décembre
Gestation : 4 mois
Mise à bas : De 4 à 10 petits

Description :

Le sanglier pèse maximum 150 kg, pour la laie à peine un peu plus de 100 kg. Le mâle pèse environ 90 cm au garrot. La vue est assez faible, cependant son ouïe et son odorat son bien plus performant. Le sanglier a une dentition très complète de 42 dents, mails les 4 canines sont caractéristiques Ses longues canines inférieures s’aiguise en permanence. Les laies portent des canines beaucoup plus courtes. Il est de couleur gris-noir. Le sanglier est très musclé et puissant, ce qui lui permet de parcourir d’assez grosses distances. Il nage bien. Il aime aussi se baigner dans de la boue qui se transforme alors en bauge. Ce lavage débarrasse le sanglier de tous ses parasites. Les sangliers sont omnivores, ils se nourrissent de glands, de racines et de fruits divers.
Habitudes :

Le sanglier a l’habitude de fouiller la terre, en cherchant sa nourriture, avec son groin. Il sort surtout la nuit, et regagne, avant le jour, sa bauge. Les grands mâles vivent en général en solitaire ou par petits groupes.
Les bécasseaux :

Après l’éclosion forcé de la mère, les petits grandissent très vite, ils atteignent à l’âge de 15 jours un poids de 130 g (ils pèsent à la naissance de 27 à 32 g) et la moitié de la taille d’un adulte (soit 115g), et étant munis de rémiges bien développées. A l’âge de 3 semaines, les ailes sont pourvues de toutes les plumes et le bécasseau peut effectuer ses premiers vols. Pendant toute cette période, la seule défense dont ils disposent et de s’immobiliser et de piéter le plus rapidement possible. Dès l’âge de 2 mois, il est presque impossible de différencier le petit de sa mère. Les familles de bécasses se déplacent à partir de la sixième semaine des bécasseaux. C’est aussi la période pendant laquelle s’amorce la première mue des juvéniles ; qui dans les meilleurs cas est terminée pour l’envol de la migration.


Les biotopes :


La bécasse choisie son lieu d’hivernage avec beaucoup d’attention car il faut que le lieu respecte toute les conditions de vie de la bécasse. Le cas le plus classique est sans doute la forêt de feuillus. Cette forêt lui permet d’avoir une vue optimale sur ses prédateurs et de piéter avec facilité. Elle recherche aussi dans ces forêts, un sol frais qui lui permet de trouver tous ses encas favoris : vers, lombrics, larves…  La bécasse se trouve assez régulièrement près des noisetiers et des châtaignés qui grâce à la perte de leurs feuilles, accroît le nombre de vers et de lombrics.
La bécasse :

Fiche :

Poids : Environ 350  grammes
Taille : Environ 40 cm
Bec :  De 70 à 80 mm
Nidification : Au pied d’un arbre
Ponte : De 4 à 5 œufs

 Description :

Le corps est trapu, la tête petite et aplatie sur le haut avec un cou très court presque inexistant. Le bec est long, elle a aussi de grands yeux noirs placés en retrait sur le haut de la tête, ce qui lui donne une vision panoramique, y compris en arrière. Une barre noire part de la commissure de la mandibule jusqu’à l’œil  et trois ou quatre barres foncées couronnent sa tête et l’amorce du cou. Le plumage bariolé, cuivré et noir de la bécasse des bois lui permet un parfait camouflage  sur les sols forestiers, parsemés de feuilles mortes, habitat qu’elle choisit de préférence pour la reproduction et l’hivernage.






Immobile, elle reste invisible pour ses prédateurs et n’est souvent détectable que grâce au sens olfactif du chien. Les plumes du ventre, plus claires, nuancées du miel au beige laiteux ou gris-marron, sont striées de noir. Les  pattes de la bécasse sont fortes, ce qui est typique d’une bonne piéteuse- leur utilisation constitue l’une de ses défenses majeures face au danger. Cet oiseau forestier ne recherche pas les marais, mais plutôt les tourbières, les bords de ruisseau, de mare, de flaque te d’étang, préférant l’eau vive. Le bec de la bécasse est d’une longueur stupéfiante, il varie entre 70 à 80  mm. Celui de la femelle est souvent plus long que celui du mâle. L’anatomie du bec est parfaitement adaptée au besoin nutritif de l’animal et à son besoin de sécurité. Pour se nourrir, elle plante son bec dans le sol, une fois un ver à proximité ; elle l’attrape à l’aide de l’extrémité de son bec.

La reproduction :

Dès la première parade de septembre, la femelle cherchera un lieu de nidification nourricier et protégé. Elle ne participe pas au vol de la croule, mais reste posée à terre, s’exposant, par de petits sauts de crapaud, au mâle dominant qui survole la clairière. Le mâle se laisse aussitôt tomber à proximité de la femelle et les deux oiseaux prennent une posture de parade typique : les rectrices en éventail, les ailes gonflées, légèrement déployée en pendant sur le sol. Dans cette posture le mâle initie une danse de séduction autour de la femelle, qui, elle aussi, les rectrices en éventail, lui marque son intérêt. Après quelques pas de danse, la femelle s’accroupit et l’accouplement a lieu. Le couple reste ensemble et reprend la parade s’il le faut, pour s’accoupler plusieurs fois. Le mâle reste parfois quelques jours avec la femelle, qui prépare le nid dans une dépression du sol, le tapissant de feuilles mortes et de brindilles. Elle y pondront quelques jours plus tard des œufs : jaunes claires maculés de brun et de petites tâches de gris bleuté. Après 21 ou 23 jours, la bécasse perce avec son bec les coquilles d’œufs pendant environ 60 heures.